C'est parti pour la fin du voyage à Audierne ! 

Encore un grand merci à Marie LN et son équipe pour ce merveilleux album concocté pour nous. 

Coucou. 

Je rame un peu avec la nouvelle (pour moi, comme je ne suis pas venue depuis longtemps) interface canalblog. 

Allez, on repart dans le Finistère. Vous êtes prêts ? 

Voilà pour aujourd'hui. 

A bientôt pour la fin de cet album. 

Coucou ! 

Et voilà, je suis de retour ! Enfin, j'espère que je vais réussir  à revenir publier ici de temps en temps. 

Je commence aujourd'hui, avec un album, commencé en atelier il y un an et demi à Caestres, chez MarieLN, et que je viens de réussir à finir. 

Je ne suis pas contente de moi, car j'ai suivi pour une fois les instructions pour le collage et ça a gondolé, ... je vais reprendre ma manière de faire, je ne suis pas douée avec certaines colles. 

Voici le début de l'album, que je vais vous montrer en plusieurs fois. Allez, vous êtes prêtes, nous partons à Audierne ! 

Petit passage par ici pour dire que je n'oublie personne mais que le temps file très vite et que je dois faire des choix J'ai changé de boulot récemment, je travaille pour un truc passionnant, un boulot qui a du sens et qui me plait, mais comme tout lancement, cela demande un temps considérable et je n'ai plus de temps pour moi. Je consacre mon temps libre restreint à mes enfants et à mon mari, à mon père et je suis trop crevée le soir pour me mettre derrière l'écran. 

Promis, dès que ça va mieux, je reviens par ici. 

En attendant, voici quelques essais réalisés pour un atelier dans la classe de mon Loulou juste avant les vacances de Noël : 

On termine avec cette publication les lectures de mes vacances. 

Le chat qui voulait sauver les livres : Rintarô Natsuki, lycéen flegmatique, est sur le point de fermer la librairie héritée de son grand-père quand il reçoit une visite inattendue. Un pelage tigré, une queue touffue, deux yeux verts perçants : pas de doute, c'est bien un chat - un chat qui parle ! Et ce félin exprime une requête plutôt inhabituelle : il demande - ou plus exactement exige - l'aide de l'adolescent pour sauver des livres. Le monde serait en effet peuplé de livres solitaires, non lus et mal aimés, que le chat et Rintarô doivent libérer de leurs propriétaires négligents.

Un conte, plus qu'un roman, ce court opus fait la part belle à la littérature classique, notamment française. J'y ai retrouvé la délicatesse des personnages japonais, sa fantaisie, mais il m'a malgré tout manqué quelque chose, sans que je sache quoi. Toutefois, je pense que ce livre ferait un superbe film d'animation. YYYYY

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A l'adresse du bonheur : En lisant le journal, le médecin Pierre Saint-Jarme constate que Ker Joie, la maison de famille vendue dix ans plus tôt, est de nouveau sur le marché. Il se précipite pour la racheter. Trop tard. Alors, il la loue, le temps d'un week-end, pour réunir la tribu sur l'île de Groix et organiser l'anniversaire d'Adeline, sa mère. Mais Pierre n'est pas le seul à lire les journaux... Un accident survenu il y a trente-sept ans s'invite à la fête. Tandis qu'Adeline souffle ses quatre-vingts bougies et pioche des moments précieux dans le bocal à émotions, les fracas du passé tracent vers l'île.

J'aime beaucoup  la plume de Lorraine Fouchet et je me suis plongée avec joie dans cette histoire de famille, sur l'île de Groix. Si l'histoire est assez convenue, les rebondissements prévisibles et parfois inutiles, ce livre m'a émue pour toute autre chose : l'auteure évoque la détresse des médecins pendant la pandémie : leur désarroi de voir mourir si vite des patients, même jeunes, et leur façon de vivre la détresse des familles qui n'avaient pas le droit de voir leur parent. Cela a eu un tel écho en moi que c'est surtout ce que je retiendrai de ce roman. YYYYY

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Le premier miracle : Karen Holt est agent d’un service de renseignement très particulier. Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus trop où il en est. Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets historiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu. Lorsque le vénérable historien qui aidait Karen à traquer les voleurs hors norme meurt dans d’étranges circonstances, elle n’a pas d’autre choix que de recruter Ben, quitte à l’obliger.

Ce livre attendait sagement son tour sur mon chevet et je me suis décidée à le lire cet été. Gilles Legardinier a cette capacité à nous embarquer dans ces univers différents. Après l'humour de la plupart de ses romans, j'avais été plutôt bluffée il y a deux ans par "Pour un instant d'éternité". Cette fois, ce fut la même chose, nous revoici au coeur d'une enquête plutôt ésotérique, à la façon d'un Dan Brown, si on cherche une comparaison. la recherche d'objets ésotériques a toujours fasciné les hommes, en a amené quelques-uns aux pires desseins, à la folie d'un seul notamment. Gilles Legardinier nous entraîne ici dans cette quête, mêlant son histoire à l'Histoire, notamment à la seconde guerre mondiale, en distillant quelques notes d'humour (il fallait bien un chat pour G. Legardinier, ici, s'il n'est plus sur la couverture, il est dedans et il se soulage sur les paillassons !). Un très bon moment de lecture ! YYYYY

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Un air d'éternité : Dans un recoin caché du grenier de son grand-père, Lisa découvre le journal intime de la tante de ce dernier. En se plongeant dans les pages jaunies, elle apprend qu’Aurélia et sa sœur Marie ont participé activement à des réseaux de Résistance. Au cœur du maquis, les deux sœurs ont uni leurs forces contre l’occupation allemande, jusqu’à ce qu’un drame bouleverse leurs vies à jamais…

Pour une fois, voici un résumé de Babelio que je trouve bien court pour parler de ce roman que j'ai adoré ! Une fois encore, Clarisse Sabard nous embarque dans une histoire de famille, une double temporalité, qu'elle manie avec brio et tendresse. Ses personnages sont attachants, leurs caractères ciselés, et c'est une nouvelle fois un ravissement. Que d'humanité dans cette histoire où s'entrechoquent passé et présent, douleurs d'aujourd'hui et non-dits d'hier ! YYYYY

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A bientôt.

Me revoici aujourd'hui avec la suite de mes lectures de vacances. 

Des  matins heureux : La rencontre de trois destins malmenés : Elsa, Marie et Guillaume. Leur point commun : aucun d'eux ne dort la nuit. La vie de quartier les fera se croiser et se recroiser, au détour de la merveilleuse pâtisserie de Raphaël, d'un Lavomatic, d'une annonce sur Leboncoin....

J'ai retrouvé avec plaisir la plume de Sophie Tal Men, un petit moment de douceur de vacances. Les personnages y sont sympathiques, attachants, même si l'ensemble est pavé de bons sentiments et qu'on devine assez vite les liens qui vont se tisser. Ce fut un bon moment de lecture d'été, sympathique, ce qui est déjà beaucoup. YYYYY

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Une belle vie :  Agathe et Emma Delorme sont soeurs. Elles ont grandi l’une contre l’autre, mais sont pourtant très différentes. Depuis le jour de sa naissance, Agathe, la plus jeune, bordélique et ardente, prend toute la place dans le bain, dans la chambre et dans le coeur d’Emma. Après cinq ans d’un silence inexpliqué, Emma donne rendez-vous à Agathe dans la maison de vacances : Mima, leur grand-mère adorée, n’est plus, il faut vider les lieux et faire le tri dans les souvenirs. Les sœurs Delorme ont une semaine pour tout se dire et rattraper le manque de l’autre, avant l’arrivée des nouveaux propriétaires. Parviendront-elles à réparer le passé ?
Dans la beauté de cet été au pays basque, où leur enfance cogne à la porte, résonne la force de leurs éclats de rire. Se moquer du temps qui passe dans les bras de ceux qu’on aime, et si c’était ça, une belle vie ?

Déçue par les précédents, je ne m'étais pas achetée celui-ci, et on me l'a offert. Cette dois, Virginie Grimaldi nous raconte une histoire avec une double temporalité, comme on en lit beaucoup actuellement. Emma et Agathe nous emmènent sur les souvenis et l'histoire de la famille. J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire de ces deux soeurs, dans le rythme de ce livre. Et j'en viens encore à regretter les premiers livres de l'auteure. Ici pas de fou-rire, pas de larme. Il ne m'en restera pas grand-chose, je dois bien l'avouer, même avec regret. YYYYY

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l'habit ne fait pas le moine :  La fin de l’été s’annonce délicieuse à Locmaria. Enfin adoptée par les villageois, Cathie, propriétaire du désormais incontournable restaurant Bretzel et beurre salé, espère bien profiter de la douceur de la côte bretonne. C’est compter sans l’arrivée de son ex-mari… Ce dernier débarque en effet à la tête d’un projet immobilier des plus controversés: voilà qu’il veut racheter les ruines de l’abbaye bénédictine pour en faire une résidence de milliardaires ! Les esprits s’échauffent, un comité se crée pour bloquer la vente… et le chef de fi le des opposants est retrouvé raide mort près des ruines tant convoitées. Tout accuse l’ex-mari de Cathie. Or, même si c’est un mufle de la pire espèce, Cathie n’arrive pas à l’imaginer en meurtrier. Elle met donc ses rancunes de côté et, avec l’aide de Yann, le journaliste secrètement amoureux d’elle pour qui la région n’a aucun secret, commence son enquête.

Ayant découvert cette série, j'étais contente de lire un nouvel épisode de ce petit cosy mystery à la sauce bretonne et alsacienne ! On y retrouve les personnages truculents des deux premiers, on fait la connaissance de l'ex-mai de Cathy, l'héroïne, une fois de plus mêlée à un crime... mais cette fois, la mayonnaise a moins pris : le métier caché de Cathy, s'il se devine vite, arrive de façon un peu trop convenue, et la fin est vraiment trop invraissemblable à mon goût. Pas sûre que je lirai la suite s'il y en a une. YYYYY

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Le dernier sommeil de l'ourse :  Abigail Lompré n’est pas retournée en Alaska depuis dix ans. L’île du Prince-de-Galles est belle, brute et sauvage, mais elle l’a fuie à l’adolescence pour rejoindre sa grand-mère paternelle à Paris, laissant derrière elle un père qu’elle aimait profondément et une mère avec qui elle ne s’est jamais entendue. Pourtant, aujourd’hui, c’est bien pour Emma qu’Abby est de retour. Pierre est mort et elle sait que son devoir est de ramener en France la seule famille qui lui reste, qu’importe leurs désaccords passés. Sans son mari, son roc, son compagnon de toujours, Emma n’est plus capable de vivre seule dans un endroit aussi hostile et isolé, mais jamais elle ne quittera son île. Convaincre Abby que sa vie est ici, sur la terre de son enfance, serait la seule solution. Au fil des jours, s’engage un combat de volonté, mais naissent aussi l’espoir et de timides rapprochements entre Abby et Emma.

Pour être franche, j'hésitais à lire celui-ci, ayant été plutôt déçue par les deux précédents de l'auteure. Et puis, il m'a été recommandé par Cath, avec qui je partage souvent les avis de lecture (nos publications se croisent même assez régulièrement). Alors, je me suis laissée tenter. Et bien m'en a pris. J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire de femmes. La maternité y tient une part importante et Sophie Jomain parle sans concession de la difficulté à être mère ; pas celle de donner la vie, mais celle d'aimer son enfant, de le montrer... Ce sujet si difficile est abordé avec vérité mais aussi avec pudeur. Sincèrement à mes yeux, sans doute le roman le plus abouti de l'auteure. Certes la fin est prévisible, mais peu importe, l'ensemble est vraiment émouvant, sans parler du voyage... puisque nous sommes embarqués en Alaska. Un vrai vent de fraicheur, pas désagréable sous les températures actuelles.  YYYYY

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Et oui, encore un. 

Une collègue de mon Zhom m'a commandé une carte pour un mariage le week-end dernier. Il fallait que ce soit "festif" et que ça brille un peu, et pas trop sage. 

Voilà ce que j'ai proposé, et cela a beaucoup plu ! Il me reste à espérer que cela aura plu aussi aux mariés !

Après ce long silence estival, j'ai honte de n'être pas venue plus tôt vous montrer les cartes reçues cet été. 

je commence par celles reçues début juillet pour mon anniversaire : 

de Pascale : 

de Jo : 

Puis, en rentrant de vacances, j'ai eu la surprise et le bonheur de recevoir une très jolie carte de Chantal, avec des petites surprises à l'intérieur : 

Merci à toutes les trois, et pardon pour les photos. Elles sont de mauvaise qualité, mais je les ai faites un soir, pour être sûre de trouver le temps de le faire. 

Me voici de retour, pas encore avec du scrap, mais avec mes lectures d'été. 

Cette année, elles portent bien leur nom : une envie de légèreté, de douceur et de positif, globalement. Voici donc les quatre premiers : 

Un abri de fortune : « Avec un peu d’amour, on fait de grandes choses. En deux années, mes voisins ont transformé cette bâtisse vosgienne à l’abandon en refuge. Du haut de mon banc et de mon grand âge, je viens chaque jour guetter les changements. Les trois premiers locataires sont aussi cabossés que moi. Un homme qui se remet d’un geste irréparable, une gamine fragile comme un moineau et une femme camouflant la misère sous sa légèreté. Je savais qu’au contact des arbres, des bêtes et du jardin, ils allaient oublier leurs peines et s’offrir un nouveau destin. Quand ils ont fait cette découverte dans les taillis et qu’ils se sont mis à remuer le passé, je me suis demandé jusqu’où tout ça allait les mener. Eh bien, vous allez être sacrément surpris… » Jean.

Si je suis une fan de la première heure d'Agnès Ledig, les deux derniers romans m'avaient paru moins fouillés, je n'y avais pas pris le même plaisir. J'ai retrouvé cette douce écriture, délicate et émouvante, les personnages y sont attachants, l'histoire intéressante et mêlée à la Grande Histoire. Dommage qu'il y ait pas mal de longueurs dans la première partie du roman, qui entâchent un peu le ressenti final. Malgré tout, un bon moment de lecture. YYYYY

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L'envol : Entre une mère et sa fille, l’amour reste toujours fragile. Entre bienveillance et malentendus, envie d’être ensemble et désir d’émancipation, portraits croisés d’une mère célibataire et de sa fille unique. D’abord fusionnelle, leur relation se distend quand l’école puis l’ascension sociale de la fille viennent heurter les rêves plus modestes de la mère.

Dans ce roman aux deux "je" qui se répondent et s'entrechoquent, Aurélie Valognes nous emmènent dans une relation entre mère et fille, sur fonds d'ascension sociale, d'ambition et d'amour entre les deux héroïnes. J'avoue avoir été d'abord agacée par le comportement de Lili, la fille, puis par Gabrielle, la mère presque soumise, ... mais j'ai retrouvé aussi la difficulté de se parler entre mère et fille, les incompréhensions : entre ce qu'on dit, ce qu'on veut dire, ce qui est compris ou interprété, ... bref, cette alternance de points de vue est finalement déstabilisante mais intéressante. Je regrette presque la fin trop rapide. YYYYY

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Atlas, l'histoire de Pa Salt : 1928, Paris. Un jeune garçon est découvert, presque mort, au détour d’une ruelle. Doux et talentueux, il devient bien vite un membre à part entière de la famille qui l’a recueilli et découvre à son côté l’amour et la musique au conservatoire de Paris. Mais dans une Europe en proie aux heures sombres de son histoire, il sait qu’il devra fuir un jour, porté par une ancienne promesse. 2008, sur la mer Égée. Alors que les sept sœurs sont réunies pour la première fois à bord du Titan pour un dernier hommage à Pa Salt, elles découvrent que le père qu'elles aimaient tant leur a dissimulé une grande partie de son passé et que les secrets qu'il a emportés avec lui pourraient bien changer leur avenir à jamais.

Huitième et dernier tome de la saga des 7 soeurs, dont la rédaction a été faite à quatre mains entre L Riley et son fils, et terminée par ce dernier, l'histoire de Pa Salt est le dénouement de toute l'histoire de ces sept filles, de leurs liens avec leur père et entre elles. C'est l'histoire non dite d'Atlas, leur père, dont les secrets étaient nombreux. Au fil de la lecture, on se prend à réagir à voix haute ("Oh,...", "ça alors"...), à se dire qu'on aurait presque besoin de relire chaque tome pour se remémorer certains passages qui trouvent ici leur explication, ... un tour de force de l'auteure, qui aura su nous tenir en haleine du début à la fin ! YYYYY

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Rendez-vous à Héyo : Elsa, athlète de haut niveau, annonce à la surprise générale, l'arrêt de sa carrière à quelques mois des Jeux Olympiques. Grégoire entend une voix à la radio et décide de la retrouver, alors qu'il s'apprête à quitter la France pour Los Angeles pour vivre son rêve professionnel. Sophie vit à Héyo, pittoresque village basque dont elle est l'âme, et entoure sa vie de mystère. Quand tous les trois se retrouvent au Café d'Ici, ils ne se doutent pas un instant que leur vie va en être bouleversée. Qu'y a-t-il de plus effrayant que de laisser s'ouvrir son coeur quand on l'a cadenassé trop longtemps ? Elsa, Grégoire et Sophie sauront-ils faire table rase du passé pour mieux réenchanter leur vie ?

Quel bonheur de retrouver la plume de Nathalie Longevial. Après "des papillons sous oxygène", j'étais ravie de retrouver son écriture ciselée. Les personnages sont attachants, les relations mère-fille ici aussi très bien abordées. Après "la librairie de la place aux herbes", d'E de Kermel, qui m'avait donné envie de partir pour Uzès, j'ai désormais très envie de vacances à Héyo ! YYYYY

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A bientôt.

Bonjour. Petit passage pour vous montrer la fin des réalisations pour le mariage d'une copine. Souvenez-vous, elle m'avait commandé ses faire-part, que vous avez vus ici, ... et bien, pour le mariage qui a eu lieu samedi, elle m'a aussi commandé les boîtes à dragées : même papier saumon du gris à paillettes... telle était la commande. Les voici, prêtes à être remplies (je suis bête, j'ai oublié d'en prendre une fermée en photo) : 

Et chose amusante, j'ai été contactée par sa cousine, qui lui préparait un album, et qui m'a demandé de réaliser un élément à coller sur la couverture, pour que ce soit une version agrandie du faire-part. Le voici : 

Je suis partie cette fois sur un beige, plutôt qu'un blanc, pour avoir un fond texturé assez sympa, et ai donc imprimé le reste aussi sur papier beige, pour l'unité. 

Voilà. Pour moi, les vacances se profilent... plus que quelques jours avant le départ. 

A bientôt.